Capitalisme : Où va le monde ?
Le blanc et le noir… Le paradis et l’enfer… Le bien et le mal… L’humanité est habituée d’opposer une chose à l’autre. Pourtant on peut l’expliquer comme le désir de l’être humain de montrer les atouts d’un phénomène et, au contraire, d’abaisser les qualités d’un autre. On le promeut dès l’enfance dans la famille et on continue à le faire pendant toute la vie. Malheureusement…
Cela existe même dans la politique en tant que partis et mouvements qui défendent leurs idées contradictoires. Parfois l’ordre politique change et une nouvelle personne commence à gérer un pays à sa manière : l’état ayant eu autrefois en priorité des valeurs humaines devient hostile aux intérêts d’autres nations .
Les présidentielles en Brésil ont montré que cela peut se passer n’importe où, même dans un pays où règnent la pauvreté et la violence. On pourrait penser que c’est le candidat prêt à bâtir une forte économie et à proposer au monde de nouvelles voies d’intégration qui devait gagner ces élections, mais le Brésil a décidé de prendre une autre route. Maintenant on attend la violation des droits de l’homme, la renaissance des idées nationalistes et l’atteinte à la liberté, malgré la conception globale.
Quelques-uns lient les événements en Brésil avec les traits négatifs du capitalisme et prouvent que tout pays choisissant cette voie de développement risque d’avoir le pouvoir ultragauche dans le cabinet étatique. Leurs argumentations sont douteuses, d’ailleurs, ainsi que ces experts qui veulent semer la panique et la provocation et ne comprennent pas la différence entre l’ordre politique et le système économique qui ne sont pas liés directement l’un à l’autre.
Bien sûr on peut critiquer chaque système économique, ils ont tous des défauts et des qualités ce qui correspond à la théorie « Le blanc et le noir », mais tout de même on ne peut pas accuser le capitalisme de la naissance du nationalisme et du fascisme. Ce sont des chosent absolument différentes. Le système capitalistique c’est plutôt une possibilité de chacun d’être le meilleur dans son affaire, dans son métier, dans sa qualification du travail qu’il accomplit mieux que les autres. Alors en concurrence naîtle progrès, le progrès qui nous a offert Internet, l’astronomie et tous les objets qui nous entourent dès le matin jusqu’à l’heure d’aller au lit. Le capitalisme estla rivalité des esprits et pas la suprématie d’une nation sur l’autre.
D’autre part est-ce qu’il y a des systèmes économiques qui puissent résoudre tous les problèmes humains, favoriser le développement et faire sortir le monde de la crise ? S’il y a une alternative, on peut la proposer et prouver qu’elle est digne d’être adoptée partout dans le monde. Sinon, personne n’a le droit de confondre des choses évidentes.
Les discussions sur ce sujet ne doivent pas dépasser les frontières et entrer en état extrême parce qu’elles peuvent provoquer des conflits et des désaccords internationaux, servir d’une cause du commencement des batailles armées. Donc le monde est toujours nerveux…